Archives auteur :Rémi JUSTINIEN

Réunis à Poitiers lundi 15 janvier, une centaine d’acteurs de la région travaillaient sur le volet climat air Énergie du SRADDET et réfléchissaient à la production électrique par les énergies renouvelables.

Pour mémoire, le SRADDET est le Schéma régional d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires que, conformément à la loi NOTRe du 7 août 2015, chaque Région doit élaborer pour réduire les déséquilibres et offrir de nouvelles perspectives de développement et de conditions de vie.

 Engagés de longue date pour le développement durable, les territoires de la Région Nouvelle-Aquitaine disposent d’atouts qui tiennent à la géographie, à l’Histoire et à la richesse de l’écosystème socio-économique :

Vendredi 12 janvier dernier se tenait le cinquième comité de pilotage de la démarche “Matières, Energies Rochelaises” (M.E.R), co-conduit par le Grand Port Maritime de La Rochelle et l’Union Maritime.

Cette réunion fut l’occasion d’effectuer un bilan de l’année 2017 et de dresser quelques perspectives pour l’année 2018. Aux        côtés de nos deux partenaires que sont l’ADEME et la Région Nouvelle-Aquitaine, figuraient autour de la table le bureau d’études GIRUS, le groupe Sup de Co La Rochelle et la Communauté d’Agglomération Rochelaise.

Dans le cadre de la démarche d’EIT, appelée plus communément démarche M.E.R, le Grand Port Maritime et l’Union Maritime organisait une matinée thématique “industriels, faites des économies d’énergie”, vendredi 1er décembre dernier.

 Cette réunion est la 21ème du nom depuis mars 2017 et la mise en place des premiers groupes de travail. Elle a pour bu, en lien étroit avec l’ADEME Nouvelle-Aquitaine et le bureau d’études GIRUS,  d’aider les entreprises à mettre en œuvre des actions qui visent à réduire les consommations énergétiques de la place portuaire et les émissions de gaz à effet de serre du territoire.

Comment faire des économies d’énergie ? En commençant par réaliser un diagnostic de performance énergétique.

Mardi 21 novembre dernier, près de 100 personnes étaient réunies au Palais des congrès de Rochefort, pour l’inauguration de l’éco-réseau du territoire Rochefortais, plus communément appelé « Circue’R » . En tant qu’acteur de l’écologie industrielle et territoriale, nous étions invités à nous  y exprimer.

En effet, à l’instar de la démarche M.E.R , cet éco-réseau se donne comme objectif de fédérer les entreprises du territoire Rochefortais autour de leur engagement pour l’écologie industrielle et l’économie circulaire. A ce jour, près de 20 diagnostics ont été effectués, tous réalisés par BIOTOP, la démarche d’EIT basée à Périgny. Demain, Nicolas VETEL et son équipe ont pour objectifs à moyen terme :

• Mise en place d’une zone de stockage et d’apports volontaires des déchets d’entreprises
• Extension de la démarche sur d’autres zones industrielles de la CARO et sur les centres villes
• Duplication du modèle sur d’autres collectivités voisines comme Marennes, Saintes, ou Surgères.

Organisé par le Pôle Éco-Industries, l’atelier inter-régional réunissant les animateurs en écologie industrielle et territoriale (EIT) de Nouvelle-Aquitaine, s’est tenu jeudi 9 novembre dernier, dans les locaux de la Communauté d’Agglomération Rochelaise.

Cette réunion avait pour objectifs d’effectuer un bilan d’étapes des différentes démarches d’EIT au niveau régional (cinq en ex Poitou-Charentes) et de tracer quelques perspectives en vue de pérenniser l’EIT dans le paysage.

De l’avis général, la dynamique est bonne. L’Appel à Manifestation d’Intérêt de l’ADEME et de la Région porte ces fruits, grâce notamment à l’aide technico-financière pour le recrutement d’un animateur ou d’une animatrice.

La présence d’un animateur permet en effet un travail au jour le jour avec l’ADEME, les collectivités, les entreprises etc., en oubliant pas de se concentrer sur la dimension territoriale.

“Donner une seconde vie aux objets en fin de parcours. Telle est la mission que l’association La Matière tente de relever chaque jour. Bois, cuir, électroménager, rien n’arrête l’équipe de La Matière située dans la zone industrielle à Périgny.

 Ils ont même créé un couteau “Le Palliçois”, fruit de l’alliance des savoir-faire de l’association du coutelier FAROL, basée à La Pallice.

Première femme à boucler un tour du monde en solitaire et sans escales, avec deux Vendée Globe à son actif, Catherine Chabaud est depuis février 2016 et sa nomination par Ségolène Royal, déléguée à la mer et au littoral, auprès du Ministre de la transition écologique et solidaire.

 La mission de Catherine Chabaud est d’aider au développement de la croissance bleue, à savoir le développement durable des activités maritimes.

 C’est pour cette raison précise, qu’à l’occasion de sa venue au Grand Pavois, Catherine Chaud a souhaité visiter le Grand Port Maritime de La Rochelle en fin de journée, vendredi 29 septembre dernier, afin notamment de “mieux connaitre les actions en matière de développement durable mises en place par la communauté portuaire et de mettre en lumière la démarche d’écologie industrielle et territoriale, dite M.E.R”.

Mardi 26 septembre dernier, dans le cadre des rencontres Biotop, nous avons eu le plaisir d’accueillir au Grand Port Maritime de La Rochelle, les membres du réseau Biotop, acteurs pionniers de l’écologie industrielle et territoriale situé à Périgny.

Biotop compte 95 d’entreprises engagées de toutes tailles et secteurs d’activités. Ses membres sont fédérés par leur engagement pour l’écologie industrielle et l’économie circulaire. Le réseau bénéficie, depuis sa création en 2010, du soutien financier et opérationnel de partenaires institutionnels et privés, tels que la Communauté d’agglomération de La Rochelle, la Région Nouvelle-Aquitaine (ex Poitou-Charentes), le Département de la Charente-Maritime, l’ADEME, la ville de Périgny, SUEZ, le Crédit Mutuel ou encore le groupe Léa Nature et ENGIE.

Vendredi 8 septembre dernier, se tenait le quatrième comité de pilotage (COPIL) de la démarche Mer, en présence de nos deux fidèles partenaires que sont la Région Nouvelle-Aquitaine et l’ADEME, mais également la Communauté d’Agglomération de La Rochelle, l’école Sup de Co La Rochelle et le bureau d’études GIRUS.

 Il y a un peu plus d’un an la démarche d’écologie industrielle et territoriale engagée par Port Atlantique La Rochelle et l’Union Maritime sur l’ouest Rochelais prenait son envol. L’heure était donc au bilan d’étape et à l’esquisse de quelques perspectives.

 D’abord, un constat : la dynamique résultant de l’initiative de l’ADEME et de la Région Nouvelle-Aquitaine (ex Poitou-Charentes) est très forte et mobilise d’ores et déjà quarante établissements (la cible était quarante-cinq), ayant fait l’objet d’un diagnostic individuel sur le terrain, de leurs flux entrants et sortants, pour les matières consommées et les déchets produits, les eaux utilisées et rejetées, les énergies consommées et leurs émissions, ainsi que pour les équipements et services rendu et attendus.

Mois de juin 2017 dense pour la démarche “Matières, Energies Rochelaises”, pilotée par le Grand Port Maritime et l’Union Maritime et plus connue désormais sous le nom de M.E.R.

Transitons énergétique, eau, rénovation énergétique des bâtiments, économie circulaire pour les palettes, les matériaux et la biomasse…autant de sujets ayant fait l’objet ce mois-ci de groupes de travail rythmées pour les entreprises de l’ouest Rochelais, soucieuses de concilier développement économique et protection de l’environnement.